PROJET PICO-HYDROLIENNES DE MOULENDA (CONGO)

Mediaventures a accompagné l’Iram dans la réalisation fin 2017 du film de capitalisation d’un projet de 4 ans innovant en matière d’accès à l’énergie en zone rurale.

Le projet Pico-hydroliennes de Moulenda a été conçu comme un démonstrateur visant à développer l’accès aux services énergétiques dans les zones rurales enclavées, dites «off-grid», à partir de pico-hydroliennes dans le village de Moulenda, au Congo-Brazzaville.

Soutenu par le FASEP-Innovation Verte, outil financier de la politique d’aide au développement, le projet Pico-hydroliennes de Moulenda a été réalisé par l’IRAM et EcoCinetic – entreprise mettant en oeuvre la technologie de pico-hydroliennes fluviales au fil de l’eau – avec l’appui de l’association locale de développement GCADM, basée à Moulenda.

Disposant d’un important réseau hydrographique, le Congo a un fort potentiel en matière de production décentralisée d’électricité. Par ailleurs, la définition du cadre institutionnel national lié au secteur de l’électricité doit permettre de consolider une politique sectorielle et stimuler le développement de l’énergie décentralisée dans le pays.

INITIATIVE POUR L’IRRIGATION AU SAHEL (2IS)

Mediaventures a accompagné l’Iram dans la réalisation fin 2017 du film de présentation de l’Initiative pour l’Irrigation au Sahel (2iS) pour le compte de la Banque Mondiale et du Comité inter-États de lutte contre la sécheresse au Sahel (CILSS).

Cette initiative conjointe de six pays du Sahel est coordonnée par le CILSS, soutenue par les communautés économiques régionales (CEDEAO et UEMOA) et appuyée par la Banque Mondiale. Cette action s’inscrit dans la continuité du Forum de Dakar sur l’irrigation au Sahel de 2013. Ce forum s’est conclu par l’adoption d’une Déclaration des gouvernements du Burkina Faso, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Tchad et du Sénégal, et de leurs partenaires invitant les parties prenantes à accroître leurs investissements dans le domaine de l’irrigation de manière à atteindre l’objectif d’un million d’hectares irrigués au Sahel à l’horizon 2020.

SOMMET(S) POUR LE CLIMAT

Film réalisé pour le collectif sommet pour le climat en 2015. Projection aux rencontres internationales du film de montagne de Grenoble

Ces « conquérants de l’inutile » nous emmènent, à travers une épopée dans les Écrins, pleine d’engagement et de solidarité, vers le sens d’une réflexion sur le climat. Un itinéraire à couper le souffle pour respirer, peut-être, un air nouveau.

BERBERES DES CIMES

Au coeur du Haut-Atlas Marocain, l’eau est une ressource rare. Depuis des siècles, les berbères ont su s’adapter à cet environnement hostile, transformant des vallées arides en véritables oasis. L’arrivée de l’électricité a profondément amélioré les conditions de vie de la région. Les villages se repeuplent, des écoles ouvrent. Mais l’eau commence à manquer. Les périodes de sécheresse s’allongent. Le changement climatique est en cours… Rachid est guide et président de l’association du village de Tizi. Sur le haut plateau du Yagour ou dans les profonds canyons de la région, il le sait, l’eau coule en abondance. Le développement de son village dépend de l’accès et de la bonne gestion de cette eau. Il s’appuie sur la connaissance de scientifiques français et marocains pour capter les sources alentours, épurer et réutiliser les eaux usées pour l’irrigation. Tous les habitants se mobilisent. Jeunes et anciens s’unissent autour de Rachid pour assurer l’avenir des générations futures…

LA VUE AU BOUT DES DOIGTS

En Mai 2011, le destin de Mathieu bascule. Ce passionné de montagne frôle la mort suite à un dramatique accident de Via Ferrata. Il perd la vue et subit de multiples opérations. Pourtant sa passion pour l’escalade est restée intacte. Sa volonté exemplaire et l’extraordinaire soutien de ses amis le pousse peu à peu à imaginer de nouvelles aventures en montagne.

NOUVELLE-ZELANDE, TERRE D’AVENTURE

La Nouvelle-Zélande est une Terre de sciences et d’aventures. A la frontière entre les plaques tectoniques pacifique et australienne, l’île est secouée par de fréquents séismes et voit s’ériger des sommets enneigés parmi les plus hauts d’Océanie… Ses côtes sont sculptées par les eaux déchaînées de l’océan Pacifique et de la mer de Tasmanie. Les volcans de l’île du Nord façonnent régulièrement de nouveaux paysages, érodés par les pluies diluviennes et les vents violents. Ces paysages racontent une histoire ; l’histoire géologique à l’origine de la beauté et de la diversité de cette partie du monde. Les scientifiques néo-zélandais tentent de la décrypter en parcourant les régions les plus reculées du pays pour, un jour, être en mesure de prévenir les éruptions et les séismes, comprendre l’évolution de notre climat ou mieux utiliser nos ressources naturelles. Sous leurs yeux s’étend l’un des plus beaux laboratoires naturels du monde, où des géants endormis peuvent se réveiller à tout instant, où la science rejoint l’aventure.

GOOLARABOOLOO, ENTRE NATURE ET TRADITIONS

Les peuples aborigènes sont les plus à même de témoigner de la richesse biologique de l’Australie car leurs traditions ancestrales sont intimement liées à leur rapport avec la nature. Ils parcourent les vastes étendues de l’Australie depuis la nuit des temps. La Dampier Peninsula est située dans le Nord Ouest Australien et recèle quelques uns des trésors biologiques de l’Australie. C’est dans cette région que vit la communauté aborigène des Goolarabooloo. Les peuples natifs de la péninsule de Dampier protègent ces territoires depuis des millénaires et ont toujours su préserver l’équilibre des écosystèmes qui les composent

LA STEPPE AU FIL DE L’EAU

Ce film vous emmènera d’abord aux confins de la Sibérie pour découvrir le plus grand et le plus vieux lac du monde : Le lac Baïkal. La pureté légendaire des eaux du joyau de la Sibérie est aujourd’hui menacée par les activités humaines. Les organisations environnementales sur place nous l’expliquent.
Nous mettrons ensuite le cap vers le sud, pour rejoindre la Mongolie et ses steppes où les nomades sont rois. Les  ressources en eau y sont beaucoup plus rares et les populations locales doivent s’adapter.