Tournage au Congo Brazzaville en Novembre 2017

En Octobre/Novembre 2017, Mediaventures a accompagné l’Iram dans la réalisation du film de capitalisation d’un projet de 4 ans innovant en matière d’accès à l’énergie en zone rurale.

Le projet Pico-hydroliennes de Moulenda a été conçu comme un démonstrateur visant à développer l’accès aux services énergétiques dans les zones rurales enclavées, dites «off-grid», à partir de pico-hydroliennes dans le village de Moulenda, au Congo-Brazzaville.

Soutenu par le FASEP-Innovation Verte, outil financier de la politique d’aide au développement, le projet Pico-hydroliennes de Moulenda a été réalisé par l’IRAM et EcoCinetic – entreprise mettant en oeuvre la technologie de pico-hydroliennes fluviales au fil de l’eau – avec l’appui de l’association locale de développement GCADM, basée à Moulenda.

Disposant d’un important réseau hydrographique, le Congo a un fort potentiel en matière de production décentralisée d’électricité. Par ailleurs, la définition du cadre institutionnel national lié au secteur de l’électricité doit permettre de consolider une politique sectorielle et stimuler le développement de l’énergie décentralisée dans le pays.

>>Pour plus d’informations : Site web Iram

 

Tournage au Sahel (Niger, Burkina) en Septembre 2017

En Septembre 2017, Mediaventures a accompagné l’Iram dans la réalisation du film de présentation de l’Initiative pour l’irrigation au Sahel (2iS).
Cette initiative conjointe de six pays du Sahel est coordonnée par le Comité Inter-Etat de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (CILSS), soutenue par les communautés économiques régionales (CEDEAO et UEMOA) et appuyée par la Banque Mondiale.
Cette action s’inscrit dans la continuité du Forum de Dakar sur l’irrigation au Sahel de 2013. Ce forum s’est conclu par l’adoption d’une Déclaration des gouvernements du Burkina Faso, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Tchad et du Sénégal, et de leurs partenaires invitant les parties prenantes à accroître leurs investissements dans le domaine de l’irrigation de manière à atteindre l’objectif d’un million d’hectares irrigués au Sahel à l’horizon 2020.